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Docteur Asaf DURAKOVIC :

Le site : http://www.umrc.net a été créé par le Docteur Asaf Durakovic qui s’ est entouré d’ une équipe de scientifiques et de spécialistes en médecine nucléaire et radiologique.

Dr Durakovic DrAsaf DURAKOVIC

                                                             


            Qui est Asaf Durakovic ? Quels ont été ses travaux ?

On se reportera au livre de Martin Meissonnier, Frédéric Loore et Roger Trilling, intitulé : Uranium Appauvri, la guerre invisible publié chez Robert Laffont aux pages 232 à 244, pour plus de détails.

En voici des extraits :

Le Docteur Asaf Durakovic est un praticien de la médecine nucléaire de classe mondiale, il a passé toute sa vie à étudier de près les effets des radiations. Auteur ou coauteur de presque soixante-dix publications scientifiques, il a servi pour des missions de vérification des sites de missiles du Kazakhstan, il a examiné les enfants de Tchernobyl, et de 1982 à 1986 il était chef de la division de Science nucléaire à l'AFRRI. Asaf a été aussi le premier docteur à identifier l'uranium appauvri comme un facteur possible des pathologies de la guerre du Golfe.

Colonel de l'armée américaine, il a été mobilisé pour la guerre du Golfe. Asaf Durakovic a subi des pressions lors de ses travaux, après son retour aux USA, il était l 'homme qui en savait trop.

Nous lui avons demandé de commencer au commencement et de nous raconter ce qu'il avait trouvé.

-En 1991, alors que j'étais responsable du département de médecine nucléaire à l'hôpital pour vétérans de Wilmington (Delaware ), j'ai été contacté par un confrère de la Ventnor Clinic dans le New Jersey qui souhaitait obtenir mon opinion au sujet de symptômes que présentait un groupe de vingt-huit patients de cet hôpital. Ils ont donc été transférés dans mon service en juin de cette année-là. J'ai finalement vu vingt-quatre d'entre eux et pris connaissance de leur bilan clinique. Leurs symptômes pouvaient trouver leur origine dans une exposition à une radioactivité de type environnemental. Ils avaient été contaminés par inhalation de particules.

Peu de temps après avoir vu ces patients, j'ai reçu des lettres, des coups de fil ainsi que des interpellations directes me demandant d'arrêter mes recherches.

-Comment avez-vous réagi à ces pressions ?

-J'ai objecté que j'étais mandaté par le gouvernement des États-Unis d' Amérique pour prendre soin des vétérans malades. Mais ils m'ont répondu que, si je persistais, mes travaux ne seraient plus financés et que, dans mon intérêt, dans l'intérêt de ma carrière, je devrais immédiatement interrompre ce que j'avais entrepris. J'ai trouvé tout cela très étrange.

Il m’ est arrivé de recevoir des coups de fil du département de la Défense, du bureau du chirurgien général, à Alexandrie en Virginie, et de différents responsables de centres installés un peu partout aux États-Unis. J'ai également été appelé par des personnes qui avaient travaillé avec moi à l'époque où j'étais officier dans l' armée américaine. Ces officiers, qui étaient des amis et des collègues, m'appelaient d' Alaska, du Texas, d'Oklahoma et de différents endroits du pays, me demandant tous de mettre fin. à mes tests. J'étais stupéfait.

L'un d'entre eux, un ami proche, m'appela du Texas et m'interrogea de façon très embarrassée. Je l'ai alors questionné précisément: « Quel intérêt as-tu à me demander d'arrêter mon travail ? » Il m'a dit qu'il agissait sur ordres venant d'en haut. « Je dois sauver ma carrière. J'ai reçu l'ordre de t'influencer de telle manière que tu cesses tes recherches », a-t-il avoué. Ce que j'ai une nouvelle fois refusé de faire. Au contraire, poursuivant mes examens, j'ai trouvé une symptomatologie quasi identique pour l'ensemble des vingt-quatre patients.

-Présentaient-ils d'autres symptômes ?

-Tout à fait. Des dérangements gastro-intestinaux avec alternance de constipation et de diarrhées, et présence fréquente de sang dans les selles. Dans certains cas, des patients ont développé des tumeurs et des cancers du système gastro-intestinal. Nous avions donc une symptomatologie du système nerveux central, du système gastro-intestinal et du système hépato-biliaire.

On a également noté une sensibilité extrême à la palpation du quadrant supérieur droit de l' abdomen, ce qui indique une implication du foie. Il pourrait s'agir de maladies différentes, mais il n'y a jamais eu d'analyses.
Qui plus est, il faut signaler un autre élément d'une importance capitale: le groupe de patients a présenté de nombreux problèmes rénaux allant d'envies fréquentes d'uriner à une soif exagérée. Chez mes patients, c'était excessif. Ils ont consommé et uriné trois à quatre fois plus que la normale. Cela m' a poussé à vérifier le fonctionnement des systèmes rénal et urinaire.

J' ai découvert que certains souffraient de polyurie, de dysurie et de polydipsie, ce qui veut dire, en langage courant, quantité accrue et excrétion fréquente d'urine accompagnée de douleur, et soif excessive. On a aussi remarqué des changements organiques dans les fonctions rénales: certains avaient du sang dans les urines. Permettez-moi de vous rappeler que les causes les plus fréquentes de la présence de sang dans les urines sont le développement de calculs rénaux, la tuberculose et le cancer. Or, dans la plupart des cas, aucun n'avait de calculs rénaux et aucun d'eux n'avait la tuberculose. Aucun n'avait de cancer aux reins. Nous nous trouvions donc avec une présence de sang d'étiologie inconnue.

J'ai poursuivi ces examens et j' ai découvert que beaucoup de ces patients avaient des dépôts hyalins et d' albumine dans leurs urines. Le système tubulaire de l'appareil urinaire était atteint, ce qui constitue un dommage morphologique, anatomique.

Quel lien avec la guerre du Golfe ?

J'y viens précisément. Des troubles neuromusculaires et squelettiques ont également été décelés. Chez presque tous, j'ai constaté des paresthésies, des fourmillements dans les pieds, un défaut de coordination dans les mouvements et, enfin, une démarche chancelante. Apparaissent en outre des tremblements aux extrémités supérieures, des tics, des contractions et des désordres convulsifs qui les réveillent parfois.

Ils entrent dans des crispations convulsives. Ils sautent parfois de leur lit ou se conduisent comme s'ils souffraient de crises d'épilepsie ou même du syndrome de Parkinson. Or, aucun n'est atteint de ces affections. Restent deux groupes de symptômes. Le premier concerne les désordres neuropsychiatriques, le second, les déficiences immunitaires. Tous mes patients sans exception souffrent de troubles neuropsychiatriques, à savoir des pertes de la mémoire, à court terme chez certains, à long terme chez d'autres.

Venons-en pour finir au dernier et septième groupe de symptômes : une insuffisance immunitaire, une vulnérabilité aux infections bactériennes et virales les plus communes, et une prédisposition aux allergies.

On sait que rien n'est plus dangereux qu'un émetteur de rayons alpha agissant à l'intérieur du corps. Un atome de plutonium suffit à causer une modification ou une mutation à l'intérieur de cellules très sensibles. Ingéré ou inhalé sous forme d'aérosol, voire absorbé par votre corps par l'intermédiaire de blessures faites par des éclats d'obus, l'uranium devient plus dangereux qu'aucune toxine connue de la science des hommes. Et nous parlons ici de quantités moléculaires et atomiques.

Dans le golfe Persique, les vétérans ne disposaient pas d'équipements de protection, ils n'avaient pas non plus de lunettes, ni de gants, ni de bottes et pas même de dosimètres. Ils n'utilisaient pas d'eau pour se laver avant de prendre leurs repas et ils ont donc mangé leurs sandwiches avec les mains non lavées, introduisant du même coup de l'uranium dans leur système gastro-intestinal. En l'occurrence, cela ne constitue pas un souci majeur étant donné que 95 % de l'uranium ingéré est éliminé grâce à l'activité intestinale. Mais de 1 % à 5 % passe dans la circulation sanguine -principalement chez les enfants -, rendant la présence de cette fraction minime dans l' organisme extrêmement dangereuse. Et je ne vous parle pas ici de contamination par voie gastro-intestinale ni même par inhalation de particules.

Lorsqu'un obus à l'uranium appauvri frappe un char ou un bâtiment, cet obus explose à la température de plusieurs milliers de degrés. Les oxydes d'uranium qu'il contient, de la taille du micron sont libérés et littéralement cuits sur ces particules en suspension dans l'air ambiant et que les gens inhalent obligatoirement. Le vent peut les emporter très loin du point d'impact. Le Dr Dietz, un de mes collègues, a calculé que, selon la vitesse du vent, les particules d'uranium appauvri peuvent voyager sur des distances allant de trente-six à quarante-deux kilomètres. Certains scientifiques ont estimé que ces distances pourraient être bien plus importantes encore si les particules étaient soumises à l'action des vents du désert dont on connaît la force.

-Certains disent que l'uranium n'est pas dangereux ?

« Le fait est que la toxicité des isotopes d'uranium est très bien connue de la science depuis longtemps. Nous savons, nous scientifiques, que l'uranium appauvri et les autres isotopes d'uranium d'ailleurs -il y en a seize -ont la capacité de causer des changements somatiques et génétiques dans les organismes humains ou animaux. Les changements somatiques ont été démontrés scientifiquement au niveau de la cellule, et au niveau micro-moléculaire que ce soit l' ADN ou l'ARN, au niveau des tissus, au niveau des organes, au niveau de l'animal entier.

Nous travaillons à présent avec des laboratoires qui appliquent les méthodologies les plus modernes de la spectrométrie de masse. Nous les avons appliquées à l'analyse des échantillons d'urines et d'organes provenant de dizaines de patients dans le but de recouper les résultats obtenus par l'analyse d'activation par neutrons.

-Vous vous basez donc sur des faits ?

-Entièrement. Des faits établis à l'aide d'une méthode ultrasensible, appliquée par un éminent radio-chimiste, et vérifiés par un tout aussi éminent physicien spécialiste des radiations, le Dr Léonard Dietz, compétent pour toutes les questions relatives à l'uranium. Nous pouvons annoncer qu' il n'y a pas l' ombre d'un doute que la population actuelle de patients est porteuse de diverses sortes d'uranium, mais en grande partie d'uranium appauvri.

-Certains scientifiques disent que l'uranium appauvri est indiscernable de l'uranium naturel.

-Cela est vrai, mais ils n'ont jamais calculé la proportion d'UA versus l'uranium stable, ni cherché des isotopes qui ne sont pas présents dans l'uranium naturel. Chez certains de nos patients on trouve de l'uranium 238 à 99,5 %, et non pas à 99,2% comme dans l'uranium naturel. Les concentrations isotopiques en uranium 235 et 238 ainsi que leur ratio nous mettent en présence d'uranium appauvri. Mais, plus surprenant, nos analyses signalent par ailleurs la présence, chez chacun des vétérans examinés, d'uranium 236 et 234 en quantité supérieure au seuil de détection. Or, ces isotopes proviennent du processus opéré en centrale nucléaire.

Nous trouvons ces mêmes isotopes dans les urines de la plupart de mes patients, ces résultats sont consistants avec les analyses que nous avons faites sur les os, le foie, les poumons et les ganglions lymphatiques d’ un vétéran mort. Les patients dont je m'occupe ont un niveau élevé de quatre isotopes d'uranium dans leurs tissus, leurs organes et leurs urines.

Ma conclusion est qu'il pourrait en partie consister en une contamination interne par radionucléides, car nous avons des preuves que toutes les formes d'isotopes d'uranium sont présentes en excès dans les parties fluides et les organes de chacun des patients examinés. Les concentrations absolues d'uranium 238 et 235 sont élevées mais proportionnées de telle sorte que nous sommes certains de nous trouver en présence d'uranium appauvri.

Ensuite, nous notons la présence d'isotopes d'uranium qu'on ne trouve pas dans la nature, c'est-à-dire de l'uranium 234 et 236. Notez qu'il ne s'agit pas ici de petits pics dans la spectroscopie, mais d'entités et de quantités distinctes. De plus, ces isotopes d'uranium sont présents dans chacun des échantillons prélevés chez nos patients. Parallèlement, nous avons analysé le sol qui n'avait pas été contaminé et nous n 'y avons pas trouvé de traces d'uranium 234 ni d'uranium 236.


En conclusion, on peut dire que l'uranium appauvri utilisé par l'artillerie anti-blindés lors de l'opération Tempête du Désert a contaminé les soldats des forces alliées.

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UMRC – Contamination et Exposition à l’ Uranium


QUESTIONNAIRE d’ auto contrôle.
Ce questionnaire se trouve, en langue anglaise sur le site internet du Pr Durakovic
(Traduction : AVIGOLFE)

Cette liste d’items est une évaluation à faire soi-même par les personnes    qui ont des raisons de penser qu’ elles ont pu être contaminées par l’Uranium par suite d’expositions à des tirs d’ armes contenant de l’ Uranium Appauvri, pendant ou après la détonation.

         Prudence et réserve : Cette évaluation ne peut pas se substituer à un véritable contrôle médical et une analyse biologique.
           
Si vous répondez « OUI »  aux questions ci-dessous, nous vous conseillons de chercher l’ aide d’un médecin bien informé dans le diagnostic de contamination radiologique interne par des isotopes d’ uranium. Vous pouvez contacter  l’ UMRC pour discuter la justesse de votre participation à notre programme de dépistage.
           
Ce questionnaire auto-évaluatif peut être utilisé par les civils, le personnel d’ ONG (Organisation Non Gouvernementale) ou le personnel militaire vivant ou ayant servi dans des théâtres de guerre et où des bombes et des munitions employées sont soupçonnées contenir des alliages d’ Uranium.

Si vous avez une raison de croire que vous avez été contaminé par l’ uranium, dans d’ autres circonstances, secteurs des mines, de l’ industrie, de la fabrication ou autres situations professionnelles, vous pouvez contacter l’ UMRC pour avoir  un questionnaire correspondant mieux à votre cas.

EXPOSITION à l' URANIUM - QUESTIONNAIRE auto-évaluatif

 

Copyright UMRC

 

Partie A

 

SI ……. Vous vivez, travaillez, servez, visitez et/ou voyagez dans des localités qui ont été bombardées par air, par des tirs de chars, par des tirs d' artillerie ou bien si elles ont été le théâtre de batailles de chars ou d' artillerie …. ou, vous êtes près  de forces armées terrestres, aériennes ou de bases navales qui s' entraînent  et tirent sur des cibles, font des essais de tirs et testent des munitions …

 
   

ALORS …. REMPLISSEZ LA PARTIE B, ci-dessous.

 
   

PARTIE B: Mécanismes et facteurs d' exposition.

 
   

Si vous répondez "OUI" , à une ou plusieurs questions ci-dessous, dans cette partie B, alors  remplissez aussi la partie C.

 
 
 

Je vis, travaille, visite et/ou sers - actuellement ou dans le passé - à moins de 100  kilomètres

 

de localités, habitations, véhicules ou équipements qui ont été bombardés. Ceci inclut aussi

 

d' avoir été sous le vent de ces lieux, même à des centaines de kilomètres mais où les vents

 

et  les tempêtes de poussières, ou de sable, sont fréquents.

 
   

J' ai été dans des lieux où il y avait eu des tirs ou explosions :  sur des terrains militaires,

 

des sites de stockage de munitions,  des tanks, des lance-rockets, des sous-marins, avion,

 

porte-avions, destroyers, aéroports, avions commerciaux ou transports de troupes.

 
   

J' ai visité ou travaillé dans des localités où des équipements militaires avaient été stockés et 

 

entretenus, nettoyés et réparés, pendant ou après des batailles ou bien où avaient été

 

bombardés et endommagés des équipements militaires ou encore où des obus (pièces

 

d' artillerie) (UXO) avaient été collectées et emmagasinées.

 
   

J' ai travaillé dans ou visité des emplacements  où du personnel civil ou militaire (y compris

 

des blessés) a été transporté, accueilli, soigné, hébergé et rassemblé pendant ou après

 

un bombardement ou des conditions de champs de batailles.

 
   

J' ai été dans ou près de lieux ou d' installations qui traitent, recyclent ou s' occupent de

 

vêtements, personnels ou équipements spéciaux portés par des personnes qui ont été dans

 

des lieux décrits dans la partie B, ci-dessus.

 
   

Je vis, voyage, travaille, sers ou visite des villages et des communautés où des personnes

 

présentent des symptômes d' une contamination interne. Ceci inclut le corps médical et des

 

équipes de santé publique, équipes de construction, UXO et équipes de déminage; etc. aussi

 

bien que tous ceux qui nettoient, gardent et entretiennent des véhicules utilisés pour ces

 

opérations dans ces localités.

 
   

J' ai exploré et cherché des emplacements, des équipements, des immeubles, des caves,

 

des bunkers, etc. pour récupérer des matériaux. Ceci inclut les personnes qui ont stocké,

 

distribué et utilisé les matériaux récupérés en provenance des endroits énumérés.

 
   

J' ai cherché et retrouvé des survivants, des blessés, des cadavres; j' ai nettoyé et préparé

 

des corps pour l' enterrement; j' ai cherché des corps pour identification; ou j' ai transporté

 

l' une de ces personnes.

 
   

Mon enfant joue dans des cratères de bombes, des bâtiments, des sites en construction

 

ou alors, il joue avec des matériaux récupérés sur des sites qui ont été bombardés.

 
   

Certains ou tous les membres de ma famille, mes voisins ont répondu "OUI" aux questions

 

de la partie B.

 
   

Si vous avez répondu  "OUI" ou connaissez quelqu' un qui a répondu "OUI" à une ou plusieurs questions de la partie B, allez dans la partie C, ci-dessous.

 
   

PARTIE C

 
   

Partie C - Santé et conditions médicales

 

Si vous répondez "OUI" dans les parties A et B ci-dessus et à 3 symptômes suivants ( ou plus)

alors vous avez peut-être expérimenté les effets d' une sur-exposition à des radio-isotopes en

 

provenance des armes à alliages d'uranium.

 
   

C1: Immédiatement après un bombardement ou une exposition…

 

de quelques minutes aux jours suivants l' exposition:

 
   

a -  Saignements de nez et/ou nez qui coule.

 
   

b - Irritation et sensations de picotements dans la gorge, les narines ou la bouche.

 
   

c - Peau et/ou yeux irrités et brûlants

 
   

d - Peau et/ou yeux brûlants au contact de l' eau

 
   

e - Toux sèche dans les voies respiratoires supérieures.

 
   

f - Frissons et comme des symptômes de la grippe pendant des semaines

 
   

Nombre de symptômes : ……….. Sur 6

 

C2 : Symptômes après bombardements ou exposition dans des lieux

 

contaminés

 
   

>a - Fatigue inhabituelle, faiblesse.

 
   

b - Fièvres intermittentes

 
   

c - Transpiration pendant la nuit.

 
   

d - Maux de tête

 
   

e - Douleur continue ou à répétition dans les articulations

 
   

f - Petite douleur périodique nerveuse, musculaire ou dans les tissus.

 
   

g - Perte de mémoire à court terme, capacité inconsistante de mémoire

 
   

h - Dépaysement et confusion mentale

 
   

i - Dépression et peur d' initiative

 
   

j - Douleur dans la poitrine

 
   

k - Grippe ou froid chronique avec des symptômes respiratoires persistants.

 
   

l - Asthme, bronchite chronique

 
   

m - Toux sèche et improductive, fréquente ou persistante.

 
   

n - Douleur dans le cou, le crâne ou la colonne cervicale

 
   

o - Douleur dans le bas du dos / dans les reins

 
   

p - Sensation de douleur mordante en urinant ou éjaculant

 
   

q - Douleur stomacale inexpliquée ou problèmes gastro-intestinaux

 
   

Nombre de symptômes : ………………… sur 17

 
   

C3 : Symptômes chroniques ou progressifs et les signes

 
   

a - Symptômes listés en C2, chroniques, progressifs ou répétés

 
   

b - Douleur progressive aux reins et inconfort

 
   

c - dysfonction sexuelle

 
   

d - Impuissance

 
   

e - Naissance d' enfant malformé

 
   

f - Nourrisson malade sans explication, faible, léthargique

 
   

g - Nombre croissant de membres d' une famille ou d' une communauté qui ont des problèmes de santé

 

h - Personnes qui ne se sentent pas bien - santé fragile, de façon progressive ou répétée; système immunitaire défectueux.

 
   

Nombre de symptômes : …….. Sur 8

 
   

NOTE IMPORTANTE :

 

Ce questionnaire auto-évaluatif ne peut pas remplacer un diagnostic correct fait par un médecin

 

et une analyse biologique dans un laboratoire.

 
   

Si, après avoir complété votre questionnaire auto-évaluatif, vous appariez un nombre suffisant

 

de symptômes et de risques d' exposition, vous devriez chercher une aide médicale pour une

 

évaluation correcte et la pose d' un diagnostic. Si possible, adressez-vous à des médecins au

 

courant des problèmes liés à l'exposition à l'uranium.

 
   

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